Accord sur l’éclairage du port
La Commune, en partenariat avec la SAEM du port, vient de signer une convention visant à partager les coûts liés à l’éclairage du port. Cependant, la situation concernant la vente de l’Hôtel d’Aiguillon devient préoccupante.
Éclaircissements concernant l’éclairage
Un consensus a été atteint pour les 313 points d’éclairage, parmi lesquels 154 sont totalement dédiés à la Ville, tandis que 159 sont spécifiquement destinés à illuminer le port. La SAEM contribuera en fonction du nombre de points lumineux qu’elle utilise pour couvrir ses besoins en électricité. Grâce à cette initiative, la Ville estimera une économie d’environ 6 000 €, tout en conservant la responsabilité de l’entretien de ces installations, qui représente près de 4 000 €.
Incertitudes autour de l’Hôtel d’Aiguillon
Le potentiel acheteur de l’Hôtel du Duc d’Aiguillon hésite à procéder à la signature since plusieurs mois et demande des modifications sur le cahier des charges que la municipalité refuse d’accepter. Une décision finale est attendue d’ici la fin du mois : « soit il s’engage, soit nous demanderons une lettre de désistement ».
Impression des cartes postales locale délocalisée
La mairie a été interpellée sur le sujet des cartes postales, notamment pour la galerie Chapleau ainsi que pour une partie importante de ses besoins d’imprimés. En effet, l’imprimerie sélectionnée pour produire ces cartes et documents municipaux est réputée pour faire réaliser ses fabrications en Pologne.
« Ne devrions-nous pas investir un peu plus et préserver nos emplois locaux ? » questionne l’opposition. « C’est un vaste débat », répond le premier adjoint, en posant la question : « devrions-nous fermer nos frontières ? » Il souligne que le cahier des charges a été respecté. Le sujet de la philosophie commerciale made in Le Croisic sera-t-il réexaminé ? Pas concernant les cartes postales, mais possiblement pour d’autres fournitures.
