Vos réflexions
#1 – Clyde, Le Croisic – 06 décembre 2012 à 06h15
Les images de votre article sont déjà très éloquentes. Comment des élus, passionnés par leur littoral et ses paysages, peuvent-ils aboutir à cela ? J’espère qu’on ne nous fera pas croire que CAP ATLANTIQUE est le seul fautif. Imaginez des visiteurs capturer les mêmes images que celles publiées par Le Croisic Infos, cela risque de faire écho très loin.
Bien sûr, la protection de la côte est essentielle, mais ne pourrait-on pas envisager des travaux tout aussi luxueux que ceux du local de la police municipale, bien moins photographié ? Il est également crucial de penser à la sécurité.
#2 – Clyde, Le Croisic – 06 décembre 2012 à 07h28
J’aimerais connaître le coût de ces investissements, ainsi que celui des travaux récents sur le sentier côtier avec l’installation de petits poteaux et câbles en inox, qui sont maintenant en partie abîmés. En pleine crise de la dette, nous comprenons pourquoi les finances des municipales s’effondrent à cause des dépenses. Cela n’est pas leur argent, d’où des dépenses inconsidérées et des dérapages budgétaires.
Si les élus avaient à réaliser ce genre de clôture avec leurs propres fonds, ils seraient sûrement plus attentifs à leur budget et à l’esthétique. Il est grand temps que toutes les administrations limitent les budgets de fonctionnement et d’ouvrage pour éviter des dépenses inutiles.
Il est ironique qu’à l’un de mes voisins on ait refusé de poser un petit Velux sur sa maison traditionnelle. Quand on voit certaines nouvelles constructions au CROISIC, on peut s’inquiéter de l’avenir de nos maisons traditionnelles. Espérons que ce projet ne touche pas à sa fin.
Pour information, des travaux sur la cale sont aussi en suspens, celle-ci n’étant toujours pas opérationnelle. Pas de souci, c’est de l’argent public !
#3 – Clyde, Le Croisic – 06 décembre 2012 à 08h17
Je peux déjà imaginer les touristes photographiant le rocher de l’ours et les blagues qui vont circuler à ce sujet.
Imaginez le fils à TOTO demandant : « Pourquoi y a-t-il des clôtures ? » TOTO répond : « Pour que l’ours ne nous attaque pas ! ».
Je vois déjà des éditeurs de cartes postales humoristiques faire une carte avec la mer, les clôtures, et une vache avec une belle pâquerette. Le fils à TOTO s’étonnerait : « Il y a des vaches au Croisic ? » et TOTO de répondre : « Non, juste des clôtures, c’est un truc monté ! ».
#4 – Clyde, Le Croisic – 06 décembre 2012 à 09h29
Chacun devrait pouvoir informer ses voisins ayant quitté Le Croisic de surveiller ce site et de voter.
#5 – paricilasortie, Le Croisic – 06 décembre 2012 à 10h02
Votre journaliste a raté quelque chose ! En effet, il y a un projet expérimental d’élevage de « veaux de pré-salé de la presqu’île de Guérande », labellisés comme il se doit, élevés le long de la mer. Si ça cartonne, la maison des associations deviendra une « école de bergers » pour le CAP de « Berger breton ». Qui osera dire que notre municipalité ne pense pas à l’avenir des jeunes croisicais ?
Précision : pour la sécurité, les bergers iront par deux pour augmenter les débouchés. Pourquoi ne pas organiser un slalom géant sur la côte sauvage comme protestation ?
#6 – Duchamps – 06 décembre 2012 à 10h34
Êtes-vous sûr que la ville est responsable ? Je croyais que le tour de côte relevait de CAP Atlantique selon le contrat Natura 2000. J’ai vérifié, juste un coup de fil à CAP Atlantique, coût de l’info : 0,85 cts.
#11 – Jacques Bédier, Le Croisic – 07 décembre 2012 à 08h19
Je suis désolé de vous contredire, Duchamps. Même si un contrat 2000 existe, la ville du Croisic en est le signataire et la seule responsable des travaux sur son territoire.
Il ne sert à rien de se défausser sur les autres. De plus, lors du dernier conseil municipal, un élu a précisé que Cap Atlantique est constitué par les communes de l’intercommunalité, dont Le Croisic fait partie.
Pour plus de transparence, demandons à la municipalité de publier ce contrat Natura 2000 et nous jugerons sur pièce.
#12 – Clyde, Le Croisic – 07 décembre 2012 à 11h09
Il y a tout de même des problèmes de sécurité à considérer. Le sentier, avant, permettait aux parents, surtout aux grands-parents, de rattraper facilement un enfant ayant franchi les limites. Avec ces clôtures, un enfant pourra toujours passer, mais les grands-parents, beaucoup moins, laissant ainsi l’enfant dans une zone potentiellement dangereuse.
Je sais d’avance quelle sera la réponse : « Les parents ou grands-parents doivent faire attention ». Même en faisant attention, un enfant peut agir de manière imprévisible.
Conclusion
Les réactions autour de ces clôtures à Le Croisic continuent de susciter des débats passionnés. Chacun a ses opinions sur ce sujet délicat, illustrant l’importance de protéger notre littoral tout en préservant son esthétique et sa sécurité. Reste à espérer que ces décisions soient prises dans l’intérêt de tous.
